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L'OISEAU ET LA MER
Il y a longtemps, la mer était soignée 
Maintenant elle est abîmée 
Par  tous ces déchets 
Se plaint  l’oiseau qui chantait 
Maintenant il ne peut plus chanter en paix 
En sachant que bientôt si on ne fait rien 
Elle peut disparaître 
Tout en restant muette 
Si l’on ne sauve pas la mer pense l’oiseau 
Plus d’eau 
Plus de récolte 
Plus de cris d’enfants joyeux 
L’oiseau réfléchit, réfléchit, 
Mais ne trouve pas la solution 
La solution il va la trouver 
Car moi j’ai demandé 
Au soleil de venir l’aider. 
Alexandra
 
 
IL  était une fois un Trimaran très marrant qui vraiment n’était pas content. 
Le Goéland est vraiment très lent mais pas en chantant. 
Le Flamant rose prend sa pose au milieu des roses. 
Le phare en a marre de rester dans sa mare. 
Les méduses qui sont dans l’écluse s’amusent. 
L’étang de Thau ne fait  pas de vieux os mais de belle eaux . 
Les pêcheurs toujours  râleurs se foutent de l’heure. 
Les poissons ne fument pas le poison mais le chichon. 
Le sable c’est tout une fable presque comme une table. 
                                                                    Dimitri
 
 
 
Tout ces coquillages 
Qui ont un certain âge 
Se remettent toujours à la nage 
Pour aller rejoindre la plage 
Dimitri
 
 
 
De Bellevue, les parcs à huîtres
 
 Du haut de la plaine, J’observe une baleine, Du haut d’un chemin, J’observe un dauphin. La mer, mon paradis, L’endroit où je refais ma vie  Toi, mon beau soleil, Tu m’émerveilles. Dans mes rêves les plus fous, Je rêve d’un pays doux là-bas, je vivrai ma vie, Sans aucun ennui. J’irai à la Martinique , Au Sud de l’Amérique Dans mes rêves, j'y crois, Mais en vrai, je ne sais pas !                                       Elsa
 
 
D’ici, je suis le roi de la terre, 
Volant comme volerai un faucon des roseaux 
Dans le ciel éclairant de son bleu pastel. 

Dans cette herbe qui verdoie, 
Tel un guépard sautant à travers  les monts et les plaines 
Je n’ai ni reproche, ni peine. 

Mais un jour il me faudra partir 
Mais mon espoir lui, restera là ! 

 Cédric 
 
 
Un bateau appelé " GRAND VERT " 
Naviguait sur la mer 
Sans aucun repère 
De retrouver la Terre  Jérémy

LE FAUCON DES ROSEAUX  

 Le faucon des roseaux 
 Volant au dessus des flots 
 Aperçu tout à coup une bestiole 
 Ayant l’air folle. 

 Il a vu la bestiole 
 C’était une sole 
 Elle avait bu un verre de niolle 
 Qui l’avait rendu folle. 

 Le faucon parti émigré 
 Sur le voilier 
 On ne le revit jamais 
 Il aimait le soleil de l’été. 
                          Simon 
 

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